La digitalisation et l’automatisation sont deux des principales forces motrices de la transformation industrielle. Ces technologies révolutionnent la manière dont les entreprises conçoivent, produisent et distribuent leurs produits.
Mais quel est leur impact réel sur les métiers de l’industrie ? Et comment les ingénieurs et techniciens peuvent-ils s’adapter à cette nouvelle réalité ? Découvrez notre proposition de décryptage en 6 points !
Avec l’adoption croissante de la robotique et de l’intelligence artificielle, de nombreux métiers traditionnels sont en train d’évoluer.
Par exemple, un opérateur de machine peut désormais être amené à superviser plusieurs machines automatisées, tout en analysant les données qu’elles produisent afin de maîtriser plus efficacement une production.
La digitalisation et l’automatisation ont également donné naissance à de nouveaux métiers.
Des postes tels que data scientist, spécialiste en cybersécurité industrielle ou encore ingénieur en robotique sont de plus en plus demandés. Ils interviennent sur des expertises de plus en plus vastes et sont une composante clé des entreprises industrielles en 2023.
La maîtrise des outils numériques est devenue essentielle.
Les ingénieurs et techniciens doivent être à l’aise avec les logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO), les systèmes de gestion de production (ERP) ou encore les plateformes de données industrielles.
Et on ne vous a pas encore parlé du BIM, pilier de l’industrie et vecteur d’emploi industriel à forte valeur ajoutée.
Face à ces évolutions rapides, la formation continue est cruciale.
Les ingénieurs et techniciens doivent régulièrement mettre à jour leurs compétences pour rester pertinents sur le marché du travail.
Chez Prométhée T&I, nous avons pris la décision forte de former chacun de nos collaborateurs 3 semaines au minimum par an pour développer leurs compétences professionnelles.
Malgré les défis, la digitalisation offre également de nombreuses opportunités. Elle permet d’améliorer l’efficacité, de réduire les coûts et d’innover.
Les entreprises qui sauront tirer parti de ces technologies seront mieux placées pour réussir à l’avenir.
Enfin, l’optimisation des procédés industriels est au cœur de notre démarche quotidienne. En réfléchissant optimisation, dépense, rationalité voir frugalité, l’écoconception industrielle prend toute sa place dans ce processus global.
L’automatisation peut entraîner restructurations et pertes d’emplois dans certains secteurs.
Les entreprises et les gouvernements doivent donc réfléchir aux meilleures façons de gérer ces transitions, en veillant à offrir des formations et des opportunités de reconversion.
Conclusion
La digitalisation et l’automatisation transforment en profondeur l’industrie. Si elles présentent des défis, elles offrent aussi d’énormes opportunités.
Les ingénieurs et techniciens qui sauront s’adapter et se former continuellement seront les grands gagnants de cette révolution.